Vendredi 18 mai, Luc Bérille, secrétaire général, Dominique Corona, secrétaire national et Annick Fayard, conseillère nationale, ont été reçus par Jean-Paul Delevoye et ses équipes pour évoquer les droits non contributifs de retraites.
Cette première réunion a permis au haut-commissaire de nous présenter une photographie des droits non contributifs de retraite dans le système actuel. Lors de cette réunion nous avons ainsi abordé les périodes assimilées aux titres du chômage, de la maladie-maternité, de l’invalidité, de l’incapacité et des minima de pension.
Les droits non contributifs de retraite représentent environ 20% des prestations de droit direct. Ils ont donc une importance essentielle dans le système actuel de retraite.
Une deuxième réunion se déroulera mi-juin sur cette thématique. Celle-ci devrait permettre d’évoquer les éventuelles modalités de prise en charge dans un nouveau système.
Une nouvelle fois l’UNSA a rappelé que toute réforme de retraite ne pourrait aboutir à moins de solidarités intergénérationnelles, à des baisses des taux de remplacement... débouchant, in fine, sur moins de justice sociale.
Dans ce cadre, la prise en compte des aléas de carrières dans un nouveau système de retraite aura donc une importance capitale.