En 2001, la loi Taubira reconnaissait pour la première fois la traite négrière et l’esclavage comme « crime contre l’humanité ».
En 2006, la journée de commémoration est fixée au 10 mai, date d’adoption de la loi Taubira.
Cette date est, depuis 15 ans, l’occasion de rappeler le passé de la France, mais aussi de lutter contre l’oubli.
Pour l'UNSA, esclavage et racisme sont intrinsèquement liés, puisant dans des différences physiques, culturelles ou religieuses, des motifs de domination et d’exclusion.
La journée du 10 mai est donc l'occasion de rappeler les engagements de la charte des valeurs de l'UNSA, selon laquelle "L’UNSA fait de la lutte contre les discriminations l’un de ses principes fondateurs.
Nul ne peut se prévaloir d’une appartenance à l’UNSA s’il ne partage ces principes librement consentis"